KING DAVID UKULELE STATION – ukulele.fr : à propos, qui, pourquoi comment, billet inaugural et informations diverses.

Pourquoi « King David Ukulélé Station » ?

king david and his harp HRM David Kalakaua Parceque King David sonne bien, qu’on s’en rappelle pour le premier – ci à gauche – musicien et joueur de Harpe, mais aussi en référence à son homonyme le roi David Kalakaua (1836-1891), le « merrie monarch » – ci à droite – roi de Hawaii, promoteur de la musique hawaiienne et notamment du ukulélé, lui aussi musicien puisque guitariste et ukuleliste émerite et compositeur.

Pourquoi un site sur le ukulélé ?

Parcequ’il n’en existait pas à l’époque de la création de ce site. Parceque passionné par l’instrument et avide des renseignements qu’on trouvait sur les encore peu nombreux sites anglophones, je souhaitais rassembler les informations pour ceux qui comme moi suivaient la quête du savoir ukulélistique, rencontrer d’autres passionnés, éclairer la route des débutants, donner des pistes et montrer aux francophones que le petit instrument était bien vivant près ou loin de chez eux, accessible et accueillant. Prenant exemple sur le formidable ukulelia ou l’excellent ezfolk, et surtout inspiré par le travail passionnant du kahuna nui Cyril LeFebvre qu’il avait publié dans son premier ouvrage ukuléliste, ce site nacquit le 5 mai 2004 (date du présent billet), époque à laquelle l’engouement pour le ukulélé était encore très discret.

Qui est derrière ce site ?

Votre hôte, moi-même, Bertrand Saint-Guillain. note ultérieure : depuis le début de l’aventure de ukulele.fr/king david ukulele station, je ne suis plus seul, l’équipe s’est étoffée et modifiée, mais surtout Cyril LeFebvre a apporté sa colossale pierre à l’édifice.

my own little private ukulele story

Suite à de nombreuses tentatives et modestes expériences musicales productives mais oh combien frustrantes, la musique avec des jouets et du matériel de récupération m’a un beau jour amené à modifier une petite guitare en bois en supprimant deux cordes encombrantes et en remplaçant les coupants fils métalliques par d’agréables cordes de nylon. Une amie inspirée me fit remarquer que plutôt que de réinventer la roue je ferais mieux d’utiliser les belles choses que l’histoire de la musique nous a données, et joignant le geste à la parole elle m’offrit mon premier ukulélé. Une belle histoire d’amour naissait qui me fit entrer dans le merveilleux monde de « la-petite-guitare-Hawaiienne-à-quatre-cordes », passion dévorante qui entraîna des années plus tard la création du présent site.