libération trouve que le film  »amour et amnésie » (50 first dates) est un navet, mais quand je lis Epicée d’absurde (mazel tov à la noix de coco et ukulélé en kippa bariolée) je dois reconnaitre que je me sens obligé d’aller voir ce film. Et puis si libé dis que c’est nul…

Du côté de la musique, j’apprends aussi dans l’Humanité que Françoi Hadji-Lazaro a dans sa large palette d’instruments le ukulélé (à côté de la vielle à roue, de la cornemuse, de la mandoline, du banjo, ukulélé…). On retrouve cet instrument formidable chez Calexico (le télérama post branché des vieux jeunes le raconte). Ce qui est drôle avec le ukulélé, c’est que plein de gens célèbres en jouent depuis des années, mais à chaque fois pour la presse c’est une réhabilitation, un remise au goût du jour, et autres périphrases synonymesques.

Dans le FigaroScope, on peut découvrir que Paul Mac Cartney a rendu un hommage discret -enfin je le vois comme ça- à Georges Harrison en reprenant Something au ukulélé. Ca fait hurler le figaroscope ça doit être super.

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