Mercredi 13 avril – Amiens

Soirée UKULPIC
Y’a pas d’lézard
19 h 00, au café Le Moulin de Saint Leu, à Amiens.
C’est ouvert à tous, chacun équipé si possible d’un ukulélé (mais l’UKULPIC en distribue aussi !). Cette rencontre célèbrera les animaux, tous les animaux – dont le zèbre comme le laisse sous-entendre l’affiche.
Renseignements sur le forum et sur le site UKULPIC.


Vendredi 15 avril – Reims


L’Ukulélé Club de Champagne convie à son rendez-vous mensuel à partir de 21h au bar-restaurant Le Colibri, 12 rue Chanzy à Reims. Le Colibri rémois nidifie juste en face de la cathédrale et accueillera à cette occasion tous les oiseaux ukulélistes locaux, ou de passage.
Renseignements sur le forum et sur le site de l’UCC


Vendredi 15 avril – Paris

James Hill aux Trois Baudets avec Agathe, Eddy La Gooyatsch et les Chauds Lapins
(James Hill jouera aussi avec Nico’o le 22 avril à la Locomotive de Tarnos, près de Bayonne)

Fort du succès que rencontrait l’année passée le Bazar, les Trois Baudets reprennent l’idée à leur compte en se contentant de changer quelques lettres à l’enseigne (de manière fort rusée, le nouveau nom commence et finit par les mêmes lettres et sonne presque pareil sans être exactement identique). On se réjouit de constater que, du contenu à l’appellation, l’idée était assez bonne pour mériter une réplique en simple copier/coller.
On se réjouit aussi de retrouver à cette occasion de sympathiques vieilles connaissances tels Agathe ou La Gooyatsh, déjà au programme du Bazar l’an dernier, et le very friendly duet niouyorkais Les Chauds Lapins, interprètes de Mireille et Jean Nohain en v.o.
Le quota nouvelle-nouvelle-chanson française-francophone ainsi atteint, l’affiche peut se permettre de présenter en vedette une North American Star : James Hill – et cela malgré la fâcheuse tendance qu’a celui-ci de ne chanter qu’en angliche pour agrémenter ses démonstrations de vélocité au yoo-koo-lay-lee.

À propos de cette vélocité : dans une interview que publiait il y a dix ans le magazine The Ukulele Occasional à l’occasion de la sortie de son premier CD en solo, James Hill expliquait comment il avait étudié la guitare, classique et jazz, puis transposé toutes les techniques de l’instrument à l’ukulélé en utilisant l’accordage : La grave-Ré-Fa#-Si, comme une guitare à laquelle on aurait enlevé les deux cordes basses puis attaché un capodastre à la 5e case. Ce qui lui permet de jouer aussi bien Le Vol du bourdon au médiator que de reprendre note à note Michael Jackson en utilisant les effets de l’amplification.
Le résultat est fulgurant – comme disait Busoni.
Programme complet sur le site des Trois Baudets.

On a signalé – ici – la souscription lancée pour aider au financement du dernier exploit discographique en date de James Hill.
On parlera tout bientôt du charmant nouveau CD des Chauds Lapins, intitulé de manière délicieusement équivoque : Amourettes (cœur, moelle épinière ou rognons blancs ?).

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