Lundi 28 juin 2010, lors du vernissage de l’exposition des photos d’Emmanuel Peillet, co-fondateur du Collège de Pataphysique et de l’OuLiPo, le hall d’entrée de la bibliothèque Carnegie, à Reims, tout plein d’un aréopage de sommités pataphysiciennes, résonnait aux chants et accords d’un Ubulélé Éphémère Orchestra entonnant, coup sur coup et en leur intégralité : la Chanson du décervelage d’Alfred Jarry sur l’air de la Valse des pruneaux, et Le Petit Lauriston, berceuse à récapitulation du T. S. Boris Vian. Cet Ubulélé Éphémère Orchestra était constitué du Pauline Easy Project épaulé d’Emmanuel Bouilleaux et de Cyril LeFebvre.
L’événement montre une fois encore la belle effervescence de l’ukulélé en Champagne.
Notons aussi que l’époque est aux orchestres d’ukulélés réunis de manière éphémère à la faveur d’une grande occasion, puisqu’il y a peu, nous suivions de près l’assemblage d’un Baxter Éphémère Ukulélé Orchestra qui interpréta un répertoire de muséologie évocatoire lors du vernissage le 12 juin dernier des expos Glen Baxter à Poitiers.

(photo d’Emmanuel Peillet)

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