ukulele sauvage 3 : kujukoko
Voudi continue à nous faire découvrir généreusement ses ukulélés sauvages », le dernier né : cet étonnant et ingénieux ukulélé en noix de coco, baptisé kujukoko » par son créateur, qu’on peut découvrir en photos dans la suite et qu’on peut même entendre tout de suite.
Voudi : –La particularité de ce Uke est que les cordes, après le sillet, passent sous la tête, dans des gorges, et remontent après sur la tête pour arriver aux mécaniques. Petit truc pour récupérer de l’angle (et donc de la tension) puisque la tête n’a pas d’angle.
toutes les photos dans la suite…

Une salve d’applaudissements pour Ivan Didier, non seulement il a pris pour nous sous toutes les coutures de très belles photographies du ukulélé qu’il vient de recevoir, un Bushman Engleman, mais en plus il a écrit deux pages très complètes pour le décrire ! Il nous offre ici sans s’emballer une critique éclairée sur cet instrument – et un récit exhaustif des mésaventures liées à sa commande outre Atlantique.
Une histoire qui est intrigante et émouvante assez, c’est celle du ukulélé en France, parcequ’elle semble si anecdotique et est restée si négligée. Dans les années 20-30, la vague avait traversé les Etats-Unis et l’Atlantique jusqu’à nos côtes, où la fabrication d’ukulélés s’était installée. On connait de cette époque les Gelas pour leurs doubles tables célèbres, mais il y eut apparemment bien d’autres marques, peut-être plus de marques que que de fabricants. Grâce aux excellents lecteurs de ce site qui sont gentiment intervenus sur le 
Thierry Vaudé dit Voudi se désigne comme un luthier sauvage. Ce marseillais de 39 ans rencontré sur