Les parisiens et visiteurs de la capitale ont peut-être eu le plaisir de croiser le jeune luthier de l’île d’Oléron Sylvain Enjoubaut avec ses ukulélés, d’abord lors d’un des rendez-vous Paris Ukulele Hui puis il y a quelques jours au parisukefest ; ceux qui l’ont raté, qui n’habitent pas la Charente-Maritime et qui n’iront pas cet été fleurir la tombe de Pierre Loti pourront se rabattre sur son site internet tout neuf (celui de Sylvain, pas de Loti) : la Case à Ukes qui propose quelques vues des ukulélés qu’il a réalisés sous sa marque Syl’Uke, parmi lesquels on trouve ses étonnantes déclinaisons autour du benjo tahitien.
Les parisiens et visiteurs de la capitale ont peut-être eu le plaisir de croiser le jeune luthier de l’île d’Oléron Sylvain Enjoubaut avec ses ukulélés, d’abord lors d’un des rendez-vous Paris Ukulele Hui puis il y a quelques jours au parisukefest ; ceux qui l’ont raté, qui n’habitent pas la Charente-Maritime et qui n’iront pas cet été fleurir la tombe de Pierre Loti pourront se rabattre sur son site internet tout neuf (celui de Sylvain, pas de Loti) : la Case à Ukes qui propose quelques vues des ukulélés qu’il a réalisés sous sa marque Syl’Uke, parmi lesquels on trouve ses étonnantes déclinaisons autour du benjo tahitien.